Les Lettres D’Une Libertine – Dogging Pour Routier (1/1)

J’étais à peine remise de notre séjour parisien que mon mari m’envoya un sms me demandant de bien vouloir regarder mes courriels.
J’y trouvais bien évidemment l’invitation désormais bien connue.
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INVITATION AUX PLAISIRS
Thème : Dogging
Lieu : La Rochelle – Port de commerce de La Pallice
Consignes : Oser l’exhib derrière sa vitre, avoir un comportement masturbatoire osé et finir par grimper …
Dress-code : Bas couture « ivoire imprimé noir », porte-jarretelles noir, manucure bronze et escarpins noirs ouverts. Lingerie sexy sous un simple manteau. Rosebud avec anneau inox et téton de 4cm de diamètre déjà inséré dans le fourreau. Piercing en strass inversé
Rencontre filmée en Go-pro
Date et heure : lundi à 21h sur place – Prévoir 40min de trajet.
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C’était donc ce soir. Un peu du dernier moment et encore de l’imprévu me suis-je dite !
J’avalais ma journée de travail en redoublant d’activité pour pouvoir partir plus tôt afin de me préparer corporellement.
Je ne savais pas ce que signifiait le terme de dogging et j’effectuais une recherche sur un moteur de recherches bien connu. J’y découvris que le thème était fort bien documenté à la fois en article et vidéos classées X ou en séquences filmées par des amateurs libertins.
Il existait un code comportemental très codifié pour le couple permettant d’aller de la simple exhib à des choses plus poussées et qu’il existait des lieux dédiés à la pratique notamment en Grande-Bretagne et sur Paris. Mentalement je le retenais.
Je regardais l’une des vidéos amateurs et j’y vis une femme s’exhiber les yeux bandés à la place de passagère, encouragée par son compagnon. Autour de leur voiture, plongée dans la semi obscurité par les phares de véhicules stationnés à proximité, on distinguait clairement 4-5 hommes entrain de se masturber à proximité de sa fenêtre.

Celle-ci s’ouvrit soudain et des mains avides vinrent la caresser doucement puis plus bestialement, investissant son corps, poussant même sa main qui masturbait son clitoris pour lui enfoncer directement deux doigts et la faire jouir.
Cette vidéo s’achevait sur cette femme dont le visage était recouvert de semence mâle, allongée sur le capot de son véhicule après cette faite prendre à la chaine, par tous les orifices, par pas moins de 7 hommes diversement membrés.
J’achevais la vidéo, le rouge aux pomettes, un petit coup de chaud émanant de mon bas ventre irradiait mon corps. Je me sentais humide d’excitation pour ce soir même si je ne comprenais pas bien le sens de se faire prendre par autant d’inconnus.
J’envoyais un texto à mon mari lui indiquant que je ne voulais pas d’une foule d’inconnus. Il m’indiqua que la partie finale ne concernait que notre complice de rendez-vous mais que pour le début il y aurait le monde …spontanément présent sur place ! Gloup’s !!
Quelques heures plus tard, j’étais dans la voiture, manteau ouvert offrant à la vue ma lingerie dont le tissu était poussé de coté, les yeux bandés avec un plafonnier allumé permettant à la Go-pro de saisir les détails de notre voyage. Un flute de champagne à la main je devais me masturber le clitoris et me doigter tout en m’interdisant de jouir.
Le trajet n’en finissait pas, j’avais très envie de m’oublier à jouir malgré les consignes. J’avais très envie de quelque chose dans mon sexe qui me prenne sans ménagements. Mes seins étaient désormais sortis du corset et mon mari en caressait, avec délicatesse, les tétons saillants. Ses mots étaient crus, il me traitait de petite salope et me forçait à réagir voir à forcer le trait de l’abandon en tant que salope cuisses grandes ouvertes et minou trempé se pâmant. En fait, je n’étais pas loin de cet état par l’excitation cérébrale.
Il commentait parfois la réaction des véhicules que nous croisions et doublons et à l’en croire nous obtenions pas mal d’appels de phares.

Puis notre vitesse ralentie, les ronds-points s’enchainaient jusqu’à ce que long se stationne. Sous le bandeau filtrait la lumière d’un lampadaire. Il m’indiqua que nous étions arrivés. I m’invita à lui réciter quelles étaient les règles du dogging.
Je lui indiquais que je devais avoir un comportement exhibitionniste, plutôt de l’ordre du hard, montrant l’ensemble de mes parties sexuelles à un public masculin situé derrière la vitre et le pare-brise.
Je lui égrenais les autres règles : vitre mi ouverte autorise des attouchements sur la poitrine et le pubis, vitre ouverte intégralement autorise la masturbation manuelle, les fellations et enfin si j’ouvre la porte c’est le signal tant attendu par les mâles qui pourront me prendre à leur guise, dans, autour et sur la voiture jusqu’à la douche de sperme finale.
Il m’indiqua que j’avais toute liberté sur la fenêtre mais que pour la portière c’est lui qui me donnerait le signal attendu par notre rendez-vous.
Machinalement, pendant que j’énonçais les règles quasi internationales de cette pratique sexuelle, j’avais poursuivi mon activité masturbatoire et mon sexe clapotait sous mes deux doigts enfoncés.
Je me redressais, basculait pour venir caresser et prendre en bouche mon mari comme je l’avais vu faire sur la vidéo, montrant ainsi ma lune aux éventuels voyeurs. Je précisais à mon homme, avant de commencer ma prestation, qu’il pouvait ouvrir à moitié la vitre lorsqu’il le jugerait bon.
Il ne me fallu pas attendre longtemps pour entendre le bruit caractéristique de la descente électrique à mi chemin. Il était progressif et çà me convenait.
Un frisson me parcouru l’échine, une main fraiche se posa sur le haut de ma croupe tendue vers la fenêtre. Un geste de rotation et de caresse et elle parcourait mon postérieur avec douceur et sensualité. « Putain tu as vu ce cul ? » une voix bien grave venait troubler les quelques bruits de sucions que ma bouche effectuait sur la verge particulièrement tendue de mon homme.

« Regarde, elle a un piercing sur le clito. Ecartes lui les lèvres je suis sur qu’elle est déjà trempée ».
La main s’était dédoublée et venait écarter les globes fessiers et je sentais mon minou bailler à l’envie. Mon vagin devait être visible, mon piercing bien mis en valeur.
« Attend j’allume mon mobile ». « Pas de photo ou vidéo les gars » répondit mon mari. « oui oui c’est juste pour avoir les détails, y’a pas assez de lumière avec notre ombre ».
Des doigts curieux vinrent se poser sur mon bouton rose, glisser le long de ma fente puis remonter jusqu’à ma rosette dont ils testèrent la souplesse.
« Putain, elle mouille à mort, vient toucher ». A nouveau des doigts, plus bestiaux m’entreprirent le postérieur, puis deux vrillèrent dans mon vagin m’arrachant un gémissement.
C’est à ce moment là que mon homme se vida dans ma bouche sans annonce. Hum j’appréciais ce moment cérébral. Il venait de jouir de l’excitation procurée conjointement par ma bouche, la situation et les mots très crus de ces hommes.
« N’avales pas, retournes toi et montre leur le résultat de ton art » me dit-il. Je me glissais à nouveau assise sur le siège puis tournant mon visage je montrais à mes voyeurs ma bouche remplie de la jouissance de mon mâle alpha. « la vache elle l’a vidé complètement en quelques minutes – Avales je suis sur que t’aimes çà ». A vos ordres …Oui j’aime çà le sperme et pas besoin d’être une salope pour aimer le sperme de son homme.
J’avalais et obéis une nouvelle fois à l’injonction de montrer l’intérieur de ma bouche en tirant la langue. Oui oui …y’avait plus rien. « t’es vraiment une salope toi, tu as l’air douée pour sucer. Suces moi s’il te plait. Elle peut me sucer ? » La question ne m’était évidemment pas adressée !
Le bruit de la vitre qui s’abaisse définitivement me tira de ma transe sexuelle. Des mains envahir mon corps et un sexe à l’odeur âcre vint se présenter à ma bouche. Je proposais à mon mari de lui remettre une lingette avant de réaliser une fellation en règle.

Ma bouche découvrit un beau membre dont le gland était « champignonesque ». J’embouchais avec plaisir et lui présentais tous les honneurs qu’une femme puisse réaliser de manière buccale.
« Pas d’éjac en bouche les gars ! » L’ordre sonna clair et fort. Il était temps car mon voyeur se retira prestement de ma bouche et m’arrosa copieusement le visage de sa semence. « merde, elle est trop douée j’ai pas pu tenir, merde fais chier c’était trop bon ! ». Un doigt tentait de prendre la semence pour me la glisser en bouche. Je refusais en serrant les lèvres.
Mon homme me fit un brin de ménage à la lingette tandis qu’une deuxième verge se présentait à moi « suces la bourgeoise ! ». , je basculais sur le coté, car elle était plus courte et me présentait en petit chien pour l’avaler. Le mec me baisa la bouche sans attendre que je lui délivre mon savoir-faire.
« Putain t’es bonne toi. On voit que tu aimes çà et que tu ne fais pas semblant. Ho la vache, cette bouche de sale pute je vais te la baiser ». Je configurais ma bouche pour accueillir le membre de plus en plus profond sans désagréments, le rythme s’intensifiait, le gland grossissait et je sentais le goût salé de la rosée-semence envahir mes papilles.
A nouveau, ce retrait caractéristique qui annonce l’orgasme incontrôlé et de nouveau la douche chaude sur ma bouche et mon nez. Une odeur forte m’envahit les narines, l’homme déglutissant des onomatopées puis se confondait en remerciements.
« Merci les gars c’était super. C’est fini pour aujourd’hui, bonne soirée » indiqua mon homme. Pendant que les mecs nous remerciaient, les remerciements et au revoir fusaient.
La vitre remontait tandis que le moteur démarrait. Je commençais à vouloir remettre en place mes vêtements lorsque mon homme m’indiqua que ce n’était pas terminé. Tant mieux car en fait j’étais très excitée et frustrée de n’avoir pas eu d’orgasmes.
Le trajet fut plus que court, un peu comme un tour de parking. La voiture s’immobilisa une nouvelle fois. Mon homme m’ouvrit la portière et je fus invitée à grimper sur un marchepied et m’arrêter en pleine ascension. Des mains avides me plotèrent le fessier, les jambes et des doigts fouillèrent ma raie culière.
Mon homme m’invita à monter juste une jambe sur la marche suivante découvrant ainsi ma fente qui s’ouvrit d’elle-même. Je sentais la brise fraiche sur mon humidité débordante. Deux doigts y furent insérés et l’on entreprit de me doigter avec vigueur. C’est à la fois l’excitation de la position, l’angle de mon bassin et le rythme des doigts qui me firent devenir immédiatement fontaine orgasmique. Je n’en finissais pas de couler et gicler sur la main de mon partenaire. J’en obtenais une série de micro-orgasmes.
A nouveau les mots orduriers : « une vraie salope offerte ! Tu as vu comme elle gicle et jouie ? ». Des voix incompréhensibles vinrent ponc cette phrase crue. Il devait donc y avoir un peu de public autour de nous. Je l’imaginais comme un groupe de routiers avides et cela m’excitait terriblement.
Mon homme m’invita alors à finir l’ascension tandis qu’un corps prit appui derrière moi et me poussait presque à l’intérieur.
J’entrais dans la cabine du camion, m’aidait du volant pour le positionner sur le siège passager. Car malgré mon bandeau, il ne fallait pas sortir de la cuisse de Jupiter pour comprendre qu’elle était la surprise du jour.
La porte claqua derrière moi tandis que celle de mon coté s’ouvrait et que mon homme me réclamait une petite place.
Des mains se posèrent en corbeille sur ma poitrine, une bouche gourmande entreprit la mienne, la langue forçant son passage et enfin m’embrassait avec fougue et envie. Il embrassait vraiment bien et son parfum était enivrant. Rien à voir avec l’image d’un routier baignant dans sa journée de travail. Tout sentait à la fois le frais et le mâle excité.
Je fus invitée à me positionner en levrette, jambes très écartées sur la couchette arrière, qui ma foi était bien plus spacieuse que je ne l’aurais imaginée. Une langue agile vint me déguster de long en large, de l’anus au clito, tandis que des mains caressaient mes hanches et dos. J’obtins très rapidement un bel orgasme en m’aidant de mes doigts, tandis que la langue prenait plus longuement possession de mon anus dans son contour mais également dans ses premières profondeurs.
Puis mon partenaire retira ses vêtements et positionna son sexe derrière ma croupe. A ma grande surprise alors que je m’attendais à être prise sans autre forme de procès, il la fit coulissait de haut en bas, comme s’il voulait lubrifier son préservatif avant de me pénétrer.
Rapidement il imprima, à son sexe, un rythme de bâton que l’on agite. Il jouait sur la profondeur allant de mon clitoris jusqu’à mon anus, parfois bousculant la porte d’entrée vaginale. Cela transmettait à mes lèvres une vibration très plaisante et titillait le plafond vaginal.
Cela me faisait couler d’excitation car la montée dans les tours était rapide et régulière. Mon bassin se mit à trembler à l’approche de cet orgasme ravageur. Je ne pouvais m’empêcher de gémir, de murmurer des « oui » ou des « encore » presque involontairement.
Au moment où l’orgasme se déclencha, mon routier me pénétra alors d’un coup sec avec son sexe large et m’acheva avec une série de marteau-piquage savant. J’en avais des étoiles plein le cerveau et mon corps crépitait de cette jouissance. C’était vraiment délicieux. On ne m’avait jamais baisée ainsi !
Il resta en moi, bien calé au fond, le temps que mes pulsations vaginales se calment et que je reprenne mes esprits. Il était très large et mes muqueuses l’enserraient particulièrement bien. Se sentir remplie comme il faut était très agréable et relançait ma cérébralité vers le plaisir.
Il débuta à nouveau un va et vient qu’il voulu élargissant avec des cercles de son bassin. Cela écartait au maximum ma vulve et tirait sur mes lèvres. Un mélange de douleur et de plaisir pris naissance à la fourchette de mon capuchon. Cette sensation était novatrice. Une claque sur le haut de ma cuisse gauche me surpris et vint accen la sensation d’excitation.
« Bouge ton cul sur ma grosse bite, vient te travailler la chatte sur mon pied de biche ». Décidément les routiers sont crus ! Je m’appliquais à reproduire cette sensation d’élargissement et sentait, parfois, sa hampe repousser mes muqueuses internes. J’imprimais également un léger aller-retour pour bien me la faire ressentir à l’intérieur et pas que sur la vulve elle même. Il appréciait la chose par ses grognements. « t’es une bonne pute toi, tu sais utiliser les bites comme il faut ». Puis soudain il reprit la main et me marteau-pilonna le sexe tandis que son pouce s’insérait dans mon anus. Juste trop bon !
Je ne suis pas trop branchée sur ce rythme, habituellement, mais là je dois dire qu’il était d’une efficacité redoutable et qu’il savait ne pas aller frapper au fond. A nouveau un orgasme ravageur me sonna littéralement.
Il se retira prestement et j’entendis le latex claquer. Puis, de grosses larmes chaudes vinrent s’étaler sur mon anus et le haut de mon dos. Son pouce tenta de faire pénétrer sa semence dans celui-ci mais mon homme intervint pour calmer ses ardeurs.
Je me retournais la fente gluante et me positionnais assise sur la couchette. L’odeur du sperme vint me prendre le nez et son gland collant s’appuya sur mes lèvres. En libertine consciencieuse que je suis, je le pris en bouche et le léchait avec une gourmandise non dissimulée. Il appréciait ce traitement, même si son sexe perdait de sa rigidité trop rapidement à mon gout.
Il m’embrassa avec tendresse sur le haut du front « Merci beauté, ta rencontre va longtemps hanter cette couchette et je me branlerais en pensant à ton cul de rêve ». Il en devenait presque poète.
Après un dernier baiser passionné de mon routier inconnu, une descente acrobatique avec le bandeau de son marchepied, la porte claqua.
Je retrouvais alors mon siège passager pour un retour vers la vie conventionnelle.

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